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par dame A Mar 19 Avr 2011 - 6:08Bonjour,
Je suis une maman 31 ans et j'élève seule mes deux enfants, Y. 6 ans et S. 11 ans.
Mon mon fils S. est atteint d'une déficience auditive moyenne (surdité de perception de 40 dB à gauche et de 60 dB à droite), il est actuellement en cm2. Il est en échec depuis le ce2, l'année dernière, l'orl qui le suit a préconisé une avs (auxiliaire de vie scolaire) pour aider mon fils a rattrapper sont retard, mais personne ni l'école ni le cmpp n'ont daignés donner de suite a cette demande, et personne ne nous on a proposé d'autre aide.
Lors de la 1ere quipe éducative cette année, j'ai fais part de mon souhait d'un maintient en cm2, l'équipe enseignante m'a répondu qu'elle n'envisageait pas de redoublement pour mon fils, donc j'ai commençé a prospecter pour trouver un collège... et oh surprise lors de la 2eme équipe éducative, tout d'un coup on m'annonce qu'un passage en 6eme n'est pas envisageable, la maîtresse a alors proposé un maintient avec une avs, ce qui m'a fait bondir ds la mesure ou si l'année dernière ils avaient donné suite a ma requète, mon fils bénéficierais peut être a ce jour de cette aide.
Je suis en train d essayer de monter un nouveau dossier avs, mais on tente de me mettre des batons ds les roues, tout le monde y va de ces propositions, mecs, sessad, alors que je le répète l'année dernière, ils ont refusé l'avs mais n'ont pas proposé aucune aide alternative a mon fils, et aujourd'hui dans les renseignements scolaire du dossier avs il est écrit que S. aurait besoin d avoir constament quelqu'un a ces cotés pour l'aider. Alors que cela aurait pu être le cas, j'en suis vraiment très peiné.
L'école n'a rien fait pour aider mon fils, et aujourd'hui je suis seule a me battre, j'ai toujours accepté toutes les propositions et toutes les aides(cmpp aed razed) que l'on m a proposé et maintenant que je m'oppose a leur proposition de mecs (maison d'éducation a caractère sociale) ils veulent me forcer la main. une dénonciation anonyme et calomnieuse et on me traine devant le juge, alors que l'assistante sociale me la dit de vive voix: nous ne pensons pas que vous maltraiter vos enfants!
Je me suis toujours inquiété de la santé tant morale que physique de mes enfants ainsi que de leurs scolarité, j'ai toujours été présente et mes enfants n'ont jamais manqué de soins, ils pratiquent des activités extra scolaire, nous faisons ensemble des activités a la maison papier maché, peinture, nous fesons des balades en roller, nous allons au stade a coté de chez nous courir et faire des jeux.
Je suis loin d'être la meilleure des mamans, les violences répétés du papa de mon dernier petit garçon (une situation qui perdure depuis 2005, mais il faut savoir que depuis le 21 mars 2011 ce monsieur est incarcéré pour m'avoir violenté 4 jours plus tot, il a été condamné a une peine de 15 mois ferme d'emprisonnement, il faut savoir aussi que nous ne vivons plus ensemble depuis longtemps et que j'ai déposé plus de 20 plaintes et mains courantes). Cette situation difficile, m'a bien evidement beaucoup affecté, j'étais parfois tès mal moralement et du coup il m'était parfois bien difficile, de rester calme et patiente face aux cris et aux disputent de mes enfants, bien entendu eux même ont été très perturbés par cette situation. Mais je ne comprends pas cette décision de m'envoyer devant le juge, mes enfants ne sont ni en danger physique, ni en danger morale. Je le vis très très mal, pour moi l'école et le cmpp occultent complètement la déficience auditive de mon fils, et en m'envoyant devant le juge j'ai l'impression de l'on souhaite m'enlever mon pouvoir de décision vis a vis de mes enfants. On me remet en cause, comme si c'était moi la seule responsable de l'échec scolaire de mon fils, comme si j'étais une mauvaise mère, une mère indigne, je le vis très très mal, je le vis comme une profonde injustice. J'ai toujours essayer de faire au mieux, et aujourd'hui j'ai l'impression d'être seule face a un rouleaux compresseur.
Quand j'ai eu mon fils a 20 ans, j'ai mal vécu le fait de me retrouver bloquer a la maison, moi qui aimait tant sortir et menait jusque la une vie trépidente, d'autant plus que le papa continuait a sortir avec ses copains, c'était dur, mais j'ai assumée, je n'ai jamais chercher a fuir mes responsabilités, je ne l'ai pas fait placer je ne l'ai jamais laisser seul la maison, j'ai toujours été là pour lui, j'ai toujours fait de mon mieux et je me suis toujours préoccupée du bien être de mes enfants.
Aujourd'hui je ne comprend pas ce qui arrive, la directrice d'école qui a négligé les problèmes de mon fils n'aura jamais a rendre de compte, et moi on me met devant un juge qui prendra a ma place les décisions concernant mes enfants, comme si j'étais irresponsable et dénuée d'intelligence et de bon sens. Cette situation me rends malade, c'est si injuste.
Alors je prépare mon petit dossier que je présenterais au juge, pour démontrer l'interet que je porte a mes enfants et pour démontrer également qu'ils n'ont jamais manqué de soins.
Pour mon fils j'envisage l'école des bois à Martillac, c'est une école ou les élèves sont proches de la nature, ou il y a des animaux, mon objectif est de lui faire reprendre gout a l'école, lui redonner l'envie d'apprendre, que le travail scolaire ne soit plus une corvé pour lui, mais redevienne un plaisir.
J'envisage une thérapie familiale avec mes deux enfants, ce serait une semaine sur deux, et mes enfants et moi même serions suivi l'autre semaine par des psy libéraux.
C'est le projet que j'échaffaude, je compte bien aller devant le juge avec un bon projet pour mon grand garçon, histoire d'essayer de rester maîtresse des choix concernant l'avenir de mes enfants.
Moralement cette situation m'est très difficile, je suis affecté au plus profond de moi même, j'ai énormément de mal a accepter cette situation qui me semble si injuste. Je ne suis pas irréprochable, j'ai déjà donner des fessés a mes enfants, traversant de grandes difficultés financières j'ai déjà commis des vols a l'étalage et j'ai eu la bétise de le faire devant mes enfants, j'ai conscience que ces mauvais agissements de ma part, ont augmenté l'anxiété de mon fils S. car sont papa purgeait une peine de 4 ans d'emprisonnement. Mon fils a souffert de ne pas voir son papa pendant 30 mois celui ci étant incarcéré a près de 1000km de notre domicile, un jour je me suis fait arreter pour avoir volé des habits pour mes enfants dans un magasin H&M, j'étais en compagnie de mon fils, il m'a vu partir avec la police et il a du nourrir la crainte que sa maman se retrouve elle aussi en prison. Je sais que j'ai eu tors, que c'était une grosse erreur de ma part. Mais je ne pense pas que cela fasse de moi une mauvaise mère, je lui ai jamais fait croire que voler c'était bien, je lui est dit que c'était mal, même si j'avoue c'est bien contradictoire de dire que quelque chose est mal et de le faire quand même.
Lorsque je demandais au cmpp des informations sur la santé psychique de mon fils, on évoquait le secret médical, on se contentait de me dire que mon fils était hyper anxieux et on me recommandait de voir moi même un psychologue (démarche que j'avais déjà effectué auparavent mais que j'ai du arreter car j'avais entamer une formation qui ne me permettait plus de me rendre au rendez vous).
L'assistante sociale m'a parler de depression, concernant mon fils, mais jamais le cmpp ne m'a fait part de cette état.
Il y a peu de temps je suis allée au cmpp, pour obtenir un bilan psychologique afin de le joindre au dossier d'avs, la psychologue qui m'a reçu m'a dit Franco: "pour S., il n'y aura pas d'avs, ce sera une mecs" (maison d'éducation a caractère sociale), j'en suis resté bouche bée. J'ai appris que le matin même, cette même personne a contacter l'orl de mon fils (alors que l'année dernière personne n'a daigné passer un coup de téléphone a ce spécialiste des troubles auditif pour discuter de l'interet d'une avs pour mon fils) pour lui dire que celui-ci était hyper anxieux et inhibé, chose que l'on ne m'a jamais dite a moi qui suis pourtant sa mère, et l'orl m'a bien dit que le cmpp refusait l'avs pour mon fils de peur que je refuse le placement en mecs. Il faut savoir que le système scolaire est dissossier de la mecs, une mecs c'est un internat et on dispatche les élèves dans des établissement de secteur. Ils m'ont proposer une mecs, mais n ont même pas évoquer un soutient scolaire, mon fils bénéficie d'un ppre depuis bien 3 ans, mais cette aide est inadapté. Je suis scandalisée par les méthodes employées par ces personnes, ils me mettent une pression terrible sur les épaules, alors qu'à la base je reconnais être une personne fragile, j'ai grandement perdu confiance en moi suite aux violences et au dénigrement dont j'ai été victime par mon ancien compagnon, il a fait peser un climat malsain sur ma micro family, et aujourd'hui alors que je pourrais être sereine, me sachant en sécurité grace a sa privation de liberté, et on veut m'oter mon pouvoir de décision, alors que Dieu m'en soit témoin, j'ai toujours essayer de faire au mieux dans l'interet de mes enfants. Que l'on me parle de mecs je veux bien, même si je n'adhère pas à cette idée, mais que ni le cmpp ni l'école n'est proposé de soutient scolaire adapté a mon enfants, a mes yeux c'est une abbération (si je dois reconnaite, que le médecin scolaire s'est depuis peu réveiller et a proposer un sessad le 4 avril 2011 -cela fait tout de même depuis 2004 que mon fils est ds cette école, et depuis 2008 qu'il est en échec).
S. est un enfant calme, très gentil, il ne ferais pas de mal a un mouche, il est passioné par les dinosaures (il voudrait être paléonthologue), il aime la nature, les animaux, et même s'il y a parfois des frictions avec son petit frère, ils sont très complices.
Il est appareillé depuis 2009, il s'et accroché tant qu'il a pu a l'école, mais là, il a complètement décroché, son discours désormais c'est: je n'aime pas l'école, je n'aime pas les math...
Chaque année j'ai eu des entretiens avec les enseignants successif, mais c'est en lisant les renseignements scolaires du dossier avs dater du 23 02 2011, que je me rend compte de la gravité de la situation, j'ai pu y lire:
"...S. se réfugie ds son imaginaire...En autonomie S. fonce tête baisser pour finir son travail le plus vite possible: la consigne n'est pas forcement prise en compte et la relecture inéxistante. Une fois que quelques chose est terminé, il ne revient jamais dessus. Il se montre peu disponible pour construire des apprentissages...Sofian se montre en revanche très intérréssé par les sciences et technologies...Il participe très peu a la vie de la classe et se coupe du monde...Il n'est pas autonome et ne peut fournir de travail sérieux sans la présence d'un adulte ( et l'année dernière l'école a refusé l'avs, j'en suis malade, 1 an de perdu pour mon fils!!!)"
Une preuve a mes yeux que son déficit auditif n'est pas pris en compte par l'école:
"construction de repères dans l'espace: certaines confusions en EPS pour se reperer au sein d'une équipe ou dans une piscine." bien évidement sur un terrain ou ds une piscine avec de surcroit un bonnet de bain sur la tête, mon fils ne peut pas entendre les consigne." Incroyable! mon fils n'a pas de problèmes de construction de repère ds l'espace mais un DEFICIT AUDITIF !! Pareil au cmpp, mon fils est seul ds une pièce silencieuse avec un psychologue, alors bien entendu pour le cmpp il entend très bien, mais lorsque mon fils se retrouve ds une classe de 25 élèves, avec les bruits de règles de chaises de bavardages amplifiés par les appareils auditifs, tous ces bruits le parasite.
J' ai contacter L'URAPEDA Aquitaine (Union Régionale des Associations de Parents d'Enfants Déficients Auditifs), qui fait le constat suivant:
"Lorsqu'un enfant est sourd léger ou sourd sévère, il est très fréquent que sa surdité ne soit pas toujours prise en compte par son entourage, notamment au sein de l'école ou d'activités sportives ou de loisirs. En effet, s'il lit un peu sur les lèvres ou est capable de comprendre un minimum ce qu'il entend, les gens qui l'entourent peuvent rapidement ne plus faire l'effort de se placer bien en face de lui pour être sur que le message est passé ou que la consigne est bien comprise.
La surdité est un handicap qui ne se voit pas au premier coup d'oeil et qui, du coup, se fait vite oublier également. Pourtant, la personne atteinte a besoin qu'on lui prête une attention particulière et nécessite bien souvent de recevoir du soutien pour pouvoir assimiler les acquits scolaires.
Il est nécessaire de vérifier en permanence que l'enfant n'a pas fait de contre-sens dans la compréhension."
Je suis fatiguée par les années difficiles que j'ai traversé, écoeurée par le désinteret que l'école a montrer a l'égard de mon enfant, pour moi cette situation est injuste, et tous cela est tout simplement scandaleux, l'école a laissé mon fils coulé, et aujourd'hui c'est moi que l'on accable.
J'aimerais juste que pour mon fils apprendre redevienne un plaisir. Mon seul but est de faire de mes enfants des adultes responsables, équilibrés, je m'efforce de leurs enseigner les valeurs essentiel auquel je crois, tel que le respect de l'autre, le respect de l'environnement, la solidarité... Je suis fatigué d'avoir encore a me battre, mais l'amour de mes enfants est mon moteur, et pour eux je ne baisserais jamais les bras. J'ai lu le texte de monsieur Daniel Calin "les réactions psychiques a l'échec scolaire" que j'ai trouvé vraiment très interresant, j'ai essayé de l'imprimer, me disant que ce serait une pièce de plus et de poids pour étayer mon dossier le jour ou je serais amener a passer devant le juge, mais le texte doit être protéger je n'ais malheureusement pas réussi à l'imprimer (si vous connaissez un moyen de contacter ce monsieur,pourriez vous me le faire savoir?).
Tout conseil, ou soutient sera extrèmemnt précieux pour moi, je remercie par avances tous ceux qui apporteront leur petite pierre a mon édifice. Très cordialement. Dame A.
Je suis une maman 31 ans et j'élève seule mes deux enfants, Y. 6 ans et S. 11 ans.
Mon mon fils S. est atteint d'une déficience auditive moyenne (surdité de perception de 40 dB à gauche et de 60 dB à droite), il est actuellement en cm2. Il est en échec depuis le ce2, l'année dernière, l'orl qui le suit a préconisé une avs (auxiliaire de vie scolaire) pour aider mon fils a rattrapper sont retard, mais personne ni l'école ni le cmpp n'ont daignés donner de suite a cette demande, et personne ne nous on a proposé d'autre aide.
Lors de la 1ere quipe éducative cette année, j'ai fais part de mon souhait d'un maintient en cm2, l'équipe enseignante m'a répondu qu'elle n'envisageait pas de redoublement pour mon fils, donc j'ai commençé a prospecter pour trouver un collège... et oh surprise lors de la 2eme équipe éducative, tout d'un coup on m'annonce qu'un passage en 6eme n'est pas envisageable, la maîtresse a alors proposé un maintient avec une avs, ce qui m'a fait bondir ds la mesure ou si l'année dernière ils avaient donné suite a ma requète, mon fils bénéficierais peut être a ce jour de cette aide.
Je suis en train d essayer de monter un nouveau dossier avs, mais on tente de me mettre des batons ds les roues, tout le monde y va de ces propositions, mecs, sessad, alors que je le répète l'année dernière, ils ont refusé l'avs mais n'ont pas proposé aucune aide alternative a mon fils, et aujourd'hui dans les renseignements scolaire du dossier avs il est écrit que S. aurait besoin d avoir constament quelqu'un a ces cotés pour l'aider. Alors que cela aurait pu être le cas, j'en suis vraiment très peiné.
L'école n'a rien fait pour aider mon fils, et aujourd'hui je suis seule a me battre, j'ai toujours accepté toutes les propositions et toutes les aides(cmpp aed razed) que l'on m a proposé et maintenant que je m'oppose a leur proposition de mecs (maison d'éducation a caractère sociale) ils veulent me forcer la main. une dénonciation anonyme et calomnieuse et on me traine devant le juge, alors que l'assistante sociale me la dit de vive voix: nous ne pensons pas que vous maltraiter vos enfants!
Je me suis toujours inquiété de la santé tant morale que physique de mes enfants ainsi que de leurs scolarité, j'ai toujours été présente et mes enfants n'ont jamais manqué de soins, ils pratiquent des activités extra scolaire, nous faisons ensemble des activités a la maison papier maché, peinture, nous fesons des balades en roller, nous allons au stade a coté de chez nous courir et faire des jeux.
Je suis loin d'être la meilleure des mamans, les violences répétés du papa de mon dernier petit garçon (une situation qui perdure depuis 2005, mais il faut savoir que depuis le 21 mars 2011 ce monsieur est incarcéré pour m'avoir violenté 4 jours plus tot, il a été condamné a une peine de 15 mois ferme d'emprisonnement, il faut savoir aussi que nous ne vivons plus ensemble depuis longtemps et que j'ai déposé plus de 20 plaintes et mains courantes). Cette situation difficile, m'a bien evidement beaucoup affecté, j'étais parfois tès mal moralement et du coup il m'était parfois bien difficile, de rester calme et patiente face aux cris et aux disputent de mes enfants, bien entendu eux même ont été très perturbés par cette situation. Mais je ne comprends pas cette décision de m'envoyer devant le juge, mes enfants ne sont ni en danger physique, ni en danger morale. Je le vis très très mal, pour moi l'école et le cmpp occultent complètement la déficience auditive de mon fils, et en m'envoyant devant le juge j'ai l'impression de l'on souhaite m'enlever mon pouvoir de décision vis a vis de mes enfants. On me remet en cause, comme si c'était moi la seule responsable de l'échec scolaire de mon fils, comme si j'étais une mauvaise mère, une mère indigne, je le vis très très mal, je le vis comme une profonde injustice. J'ai toujours essayer de faire au mieux, et aujourd'hui j'ai l'impression d'être seule face a un rouleaux compresseur.
Quand j'ai eu mon fils a 20 ans, j'ai mal vécu le fait de me retrouver bloquer a la maison, moi qui aimait tant sortir et menait jusque la une vie trépidente, d'autant plus que le papa continuait a sortir avec ses copains, c'était dur, mais j'ai assumée, je n'ai jamais chercher a fuir mes responsabilités, je ne l'ai pas fait placer je ne l'ai jamais laisser seul la maison, j'ai toujours été là pour lui, j'ai toujours fait de mon mieux et je me suis toujours préoccupée du bien être de mes enfants.
Aujourd'hui je ne comprend pas ce qui arrive, la directrice d'école qui a négligé les problèmes de mon fils n'aura jamais a rendre de compte, et moi on me met devant un juge qui prendra a ma place les décisions concernant mes enfants, comme si j'étais irresponsable et dénuée d'intelligence et de bon sens. Cette situation me rends malade, c'est si injuste.
Alors je prépare mon petit dossier que je présenterais au juge, pour démontrer l'interet que je porte a mes enfants et pour démontrer également qu'ils n'ont jamais manqué de soins.
Pour mon fils j'envisage l'école des bois à Martillac, c'est une école ou les élèves sont proches de la nature, ou il y a des animaux, mon objectif est de lui faire reprendre gout a l'école, lui redonner l'envie d'apprendre, que le travail scolaire ne soit plus une corvé pour lui, mais redevienne un plaisir.
J'envisage une thérapie familiale avec mes deux enfants, ce serait une semaine sur deux, et mes enfants et moi même serions suivi l'autre semaine par des psy libéraux.
C'est le projet que j'échaffaude, je compte bien aller devant le juge avec un bon projet pour mon grand garçon, histoire d'essayer de rester maîtresse des choix concernant l'avenir de mes enfants.
Moralement cette situation m'est très difficile, je suis affecté au plus profond de moi même, j'ai énormément de mal a accepter cette situation qui me semble si injuste. Je ne suis pas irréprochable, j'ai déjà donner des fessés a mes enfants, traversant de grandes difficultés financières j'ai déjà commis des vols a l'étalage et j'ai eu la bétise de le faire devant mes enfants, j'ai conscience que ces mauvais agissements de ma part, ont augmenté l'anxiété de mon fils S. car sont papa purgeait une peine de 4 ans d'emprisonnement. Mon fils a souffert de ne pas voir son papa pendant 30 mois celui ci étant incarcéré a près de 1000km de notre domicile, un jour je me suis fait arreter pour avoir volé des habits pour mes enfants dans un magasin H&M, j'étais en compagnie de mon fils, il m'a vu partir avec la police et il a du nourrir la crainte que sa maman se retrouve elle aussi en prison. Je sais que j'ai eu tors, que c'était une grosse erreur de ma part. Mais je ne pense pas que cela fasse de moi une mauvaise mère, je lui ai jamais fait croire que voler c'était bien, je lui est dit que c'était mal, même si j'avoue c'est bien contradictoire de dire que quelque chose est mal et de le faire quand même.
Lorsque je demandais au cmpp des informations sur la santé psychique de mon fils, on évoquait le secret médical, on se contentait de me dire que mon fils était hyper anxieux et on me recommandait de voir moi même un psychologue (démarche que j'avais déjà effectué auparavent mais que j'ai du arreter car j'avais entamer une formation qui ne me permettait plus de me rendre au rendez vous).
L'assistante sociale m'a parler de depression, concernant mon fils, mais jamais le cmpp ne m'a fait part de cette état.
Il y a peu de temps je suis allée au cmpp, pour obtenir un bilan psychologique afin de le joindre au dossier d'avs, la psychologue qui m'a reçu m'a dit Franco: "pour S., il n'y aura pas d'avs, ce sera une mecs" (maison d'éducation a caractère sociale), j'en suis resté bouche bée. J'ai appris que le matin même, cette même personne a contacter l'orl de mon fils (alors que l'année dernière personne n'a daigné passer un coup de téléphone a ce spécialiste des troubles auditif pour discuter de l'interet d'une avs pour mon fils) pour lui dire que celui-ci était hyper anxieux et inhibé, chose que l'on ne m'a jamais dite a moi qui suis pourtant sa mère, et l'orl m'a bien dit que le cmpp refusait l'avs pour mon fils de peur que je refuse le placement en mecs. Il faut savoir que le système scolaire est dissossier de la mecs, une mecs c'est un internat et on dispatche les élèves dans des établissement de secteur. Ils m'ont proposer une mecs, mais n ont même pas évoquer un soutient scolaire, mon fils bénéficie d'un ppre depuis bien 3 ans, mais cette aide est inadapté. Je suis scandalisée par les méthodes employées par ces personnes, ils me mettent une pression terrible sur les épaules, alors qu'à la base je reconnais être une personne fragile, j'ai grandement perdu confiance en moi suite aux violences et au dénigrement dont j'ai été victime par mon ancien compagnon, il a fait peser un climat malsain sur ma micro family, et aujourd'hui alors que je pourrais être sereine, me sachant en sécurité grace a sa privation de liberté, et on veut m'oter mon pouvoir de décision, alors que Dieu m'en soit témoin, j'ai toujours essayer de faire au mieux dans l'interet de mes enfants. Que l'on me parle de mecs je veux bien, même si je n'adhère pas à cette idée, mais que ni le cmpp ni l'école n'est proposé de soutient scolaire adapté a mon enfants, a mes yeux c'est une abbération (si je dois reconnaite, que le médecin scolaire s'est depuis peu réveiller et a proposer un sessad le 4 avril 2011 -cela fait tout de même depuis 2004 que mon fils est ds cette école, et depuis 2008 qu'il est en échec).
S. est un enfant calme, très gentil, il ne ferais pas de mal a un mouche, il est passioné par les dinosaures (il voudrait être paléonthologue), il aime la nature, les animaux, et même s'il y a parfois des frictions avec son petit frère, ils sont très complices.
Il est appareillé depuis 2009, il s'et accroché tant qu'il a pu a l'école, mais là, il a complètement décroché, son discours désormais c'est: je n'aime pas l'école, je n'aime pas les math...
Chaque année j'ai eu des entretiens avec les enseignants successif, mais c'est en lisant les renseignements scolaires du dossier avs dater du 23 02 2011, que je me rend compte de la gravité de la situation, j'ai pu y lire:
"...S. se réfugie ds son imaginaire...En autonomie S. fonce tête baisser pour finir son travail le plus vite possible: la consigne n'est pas forcement prise en compte et la relecture inéxistante. Une fois que quelques chose est terminé, il ne revient jamais dessus. Il se montre peu disponible pour construire des apprentissages...Sofian se montre en revanche très intérréssé par les sciences et technologies...Il participe très peu a la vie de la classe et se coupe du monde...Il n'est pas autonome et ne peut fournir de travail sérieux sans la présence d'un adulte ( et l'année dernière l'école a refusé l'avs, j'en suis malade, 1 an de perdu pour mon fils!!!)"
Une preuve a mes yeux que son déficit auditif n'est pas pris en compte par l'école:
"construction de repères dans l'espace: certaines confusions en EPS pour se reperer au sein d'une équipe ou dans une piscine." bien évidement sur un terrain ou ds une piscine avec de surcroit un bonnet de bain sur la tête, mon fils ne peut pas entendre les consigne." Incroyable! mon fils n'a pas de problèmes de construction de repère ds l'espace mais un DEFICIT AUDITIF !! Pareil au cmpp, mon fils est seul ds une pièce silencieuse avec un psychologue, alors bien entendu pour le cmpp il entend très bien, mais lorsque mon fils se retrouve ds une classe de 25 élèves, avec les bruits de règles de chaises de bavardages amplifiés par les appareils auditifs, tous ces bruits le parasite.
J' ai contacter L'URAPEDA Aquitaine (Union Régionale des Associations de Parents d'Enfants Déficients Auditifs), qui fait le constat suivant:
"Lorsqu'un enfant est sourd léger ou sourd sévère, il est très fréquent que sa surdité ne soit pas toujours prise en compte par son entourage, notamment au sein de l'école ou d'activités sportives ou de loisirs. En effet, s'il lit un peu sur les lèvres ou est capable de comprendre un minimum ce qu'il entend, les gens qui l'entourent peuvent rapidement ne plus faire l'effort de se placer bien en face de lui pour être sur que le message est passé ou que la consigne est bien comprise.
La surdité est un handicap qui ne se voit pas au premier coup d'oeil et qui, du coup, se fait vite oublier également. Pourtant, la personne atteinte a besoin qu'on lui prête une attention particulière et nécessite bien souvent de recevoir du soutien pour pouvoir assimiler les acquits scolaires.
Il est nécessaire de vérifier en permanence que l'enfant n'a pas fait de contre-sens dans la compréhension."
Je suis fatiguée par les années difficiles que j'ai traversé, écoeurée par le désinteret que l'école a montrer a l'égard de mon enfant, pour moi cette situation est injuste, et tous cela est tout simplement scandaleux, l'école a laissé mon fils coulé, et aujourd'hui c'est moi que l'on accable.
J'aimerais juste que pour mon fils apprendre redevienne un plaisir. Mon seul but est de faire de mes enfants des adultes responsables, équilibrés, je m'efforce de leurs enseigner les valeurs essentiel auquel je crois, tel que le respect de l'autre, le respect de l'environnement, la solidarité... Je suis fatigué d'avoir encore a me battre, mais l'amour de mes enfants est mon moteur, et pour eux je ne baisserais jamais les bras. J'ai lu le texte de monsieur Daniel Calin "les réactions psychiques a l'échec scolaire" que j'ai trouvé vraiment très interresant, j'ai essayé de l'imprimer, me disant que ce serait une pièce de plus et de poids pour étayer mon dossier le jour ou je serais amener a passer devant le juge, mais le texte doit être protéger je n'ais malheureusement pas réussi à l'imprimer (si vous connaissez un moyen de contacter ce monsieur,pourriez vous me le faire savoir?).
Tout conseil, ou soutient sera extrèmemnt précieux pour moi, je remercie par avances tous ceux qui apporteront leur petite pierre a mon édifice. Très cordialement. Dame A.
