Bonjour,
J'ai randonné avec un petit groupe de quatre personnes handicapées mentales dans la presqu'île de Crozon accompagné d'ânes.
Hormis le temps exécrable qui nous a contraint à mettre fin avant l'heure à cette randonnée, je trouve cette expérience enrichissante.
Tout d'abord, il n'est pas besoin d'être un très bon marcheur. Les ânes avançant environ à 4 km/h, c'est facile de les suivre. Ensuite, ce sont eux qui portent le plus lourd, environ 40kg chacun.
Ensuite, marcher en petit groupe permet de créer du lien qui sera profitable par la suite pour établir une relation éducative.
Nous étions deux éducs pour cette activité qui aurait du se passer sur 6 jours mais qui s'est trouvée amputée de deux jours à cause de la pluie.
En fait nous avons marché un jour où il est tombé 75 mm d'eau avec une température de 6°!
Malgré tout, nous avons transformé cet échec en performance.
Du coup, ils sont prêt à remettre ça l'année prochaine.
Actuellement, 2 mois après cet exploit, ces personnes qui s'étaient un peu isolées se retrouvent plus facilement ensemble et les rapports avec les éducs se modifient.
Si l'on ajoute à cela le faible coût (un âne, c'est pour les bagages de 3 personnes et c'est environ 50€ la journée), c'est je pense, une activité dont on aurait tort de se priver.
J'ai randonné avec un petit groupe de quatre personnes handicapées mentales dans la presqu'île de Crozon accompagné d'ânes.
Hormis le temps exécrable qui nous a contraint à mettre fin avant l'heure à cette randonnée, je trouve cette expérience enrichissante.
Tout d'abord, il n'est pas besoin d'être un très bon marcheur. Les ânes avançant environ à 4 km/h, c'est facile de les suivre. Ensuite, ce sont eux qui portent le plus lourd, environ 40kg chacun.
Ensuite, marcher en petit groupe permet de créer du lien qui sera profitable par la suite pour établir une relation éducative.
Nous étions deux éducs pour cette activité qui aurait du se passer sur 6 jours mais qui s'est trouvée amputée de deux jours à cause de la pluie.
En fait nous avons marché un jour où il est tombé 75 mm d'eau avec une température de 6°!
Malgré tout, nous avons transformé cet échec en performance.
Du coup, ils sont prêt à remettre ça l'année prochaine.
Actuellement, 2 mois après cet exploit, ces personnes qui s'étaient un peu isolées se retrouvent plus facilement ensemble et les rapports avec les éducs se modifient.
Si l'on ajoute à cela le faible coût (un âne, c'est pour les bagages de 3 personnes et c'est environ 50€ la journée), c'est je pense, une activité dont on aurait tort de se priver.