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par Shanti8 Sam 12 Fév 2011 - 18:06J'aimerai avoir votre avis.
J'ai choisis la dissertation à propos d'une citation proposée étant "Le maître apprend de l'élève".
Les consignes étaient les suivantes:
Quelles réflexions vous évoque cette phrase qui est inscrite au fronton de l'Institut Jean-Jacques Rousseau à Genève ? Argumentez et illustrez vos propos, si nécessaire en évoquant votre propre expérience scolaire.
"Le maître apprend de l'élève"; citation issue du fronton de l'Institut Jean-Jacques Rousseau à Genève, laisse écouler une grande réflexion. La lecture de cette affirmation conduit à penser qu'elle est contradictoire, et nombreux sont ceux qui, sans approfondissement, juxtaposeraient "maître" et "élève" afin d'affirmer que l'élève apprend du maître. Il est donc interessant de prouver par une réflexion établit en trois parties que Jean-Jacques Rousseau a évoqué ce qu'il y a de plus juste. Il sera judicieux de voir que le maître est dépendant, ensuite que l'élève deviendra maître ainsi que l'idée de hiérarchie n'étant que secondaire dans l'éducation.
Le maître est dépendant puisque toutes les démarches éducatives sont établies en l'intérêt de son élève. Afin d'offrir à celui-ci l'ensemble des ressources nécessaires à sa progression, à l'atteinte de son objectif et de l'autonomie, le maître doit connaître les différents points et aspects qui varient de son élève aux autres.
Il existe de nombreuses méthodes et manières pour enseigner, cependant, l'important n'est pas de les savoir théoriquement mais de les appliquer concrètement en s'adaptant aux atouts et difficultés.
Ce fonctionnement permet de répondre le plus de fois à l'utile plutôt qu'au dispensable.
La transmission du savoir s'effectue dans les deux sens; à tour de rôle l'enseignant et l'apprentis reçoivent ce dont ils ont besoin et transmettent ce dont l'autre a besoin. Ils sont tout deux complémentaires.
La hiérarchie n'est que secondaire, l'égalité est primaire.
Certes, dans l'enseignement, il est important de connaître sa place, cependant, ce point reste naturel comme l'avance cette citation issue d'un auteur anonyme "Ne cherche pas ta place, elle te cherche".
Le maître n'ira pas vers l'élève, c'est l'élève qui viendra à lui, même si, comme il a été possible d'observer précédement, le maître a besoin de lui pour progresser puisqu'il n'y a pas de places attitrées aux maîtres, il peut toujours évoluer.
L'égalité, par contre, est primaire.
Un enseignant doit savoir se placer au même niveau que son élève afin d'établir un échange solide et bénéfique.
L'emploie des termes "solide" et "bénéfique" est utilisé puisqu'un enseignement fermé à l'écoute, à la compréhension et imbu de lui-même ne pourra pas poser la première pierre au projet d'un grand bâtiment, ce qui signifie que l'objectif ne pourra pas être atteint.
L'élève deviendra maître puisque son maître était un élève. Le maître s'est retrouvé à la même place que l'élève auparavant afin de pouvoir lui transmettre à présent tout ce qu'on lui a enseigner.
L'enseignement est tel un cercle perpétuel qui permet l'un après l'autre de recevoir et de donner comme nous avons pu le constater à la première partie.
Nous pouvons comparer l'enseignement à l'éducation familiale puisque le parent donne à l'enfant ce que celui-ci donnera à son tour.
Il est temps à présent de conclure en rassemblant les différentes idées évoquées précèdement.
Il a été possible de constater que Jean-Jacques Rousseau a bien évoqué ce qu'il y a de plus juste.
Le maître n'est qu'un élève qui a atteint un objectif et l'autonomie. Il est l'entremetteur du savoir dédié à son élève qui lui même a été transmis par son maître.
Merci de me donner sincèrement votre avis
J'ai choisis la dissertation à propos d'une citation proposée étant "Le maître apprend de l'élève".
Les consignes étaient les suivantes:
Quelles réflexions vous évoque cette phrase qui est inscrite au fronton de l'Institut Jean-Jacques Rousseau à Genève ? Argumentez et illustrez vos propos, si nécessaire en évoquant votre propre expérience scolaire.
"Le maître apprend de l'élève"; citation issue du fronton de l'Institut Jean-Jacques Rousseau à Genève, laisse écouler une grande réflexion. La lecture de cette affirmation conduit à penser qu'elle est contradictoire, et nombreux sont ceux qui, sans approfondissement, juxtaposeraient "maître" et "élève" afin d'affirmer que l'élève apprend du maître. Il est donc interessant de prouver par une réflexion établit en trois parties que Jean-Jacques Rousseau a évoqué ce qu'il y a de plus juste. Il sera judicieux de voir que le maître est dépendant, ensuite que l'élève deviendra maître ainsi que l'idée de hiérarchie n'étant que secondaire dans l'éducation.
Le maître est dépendant puisque toutes les démarches éducatives sont établies en l'intérêt de son élève. Afin d'offrir à celui-ci l'ensemble des ressources nécessaires à sa progression, à l'atteinte de son objectif et de l'autonomie, le maître doit connaître les différents points et aspects qui varient de son élève aux autres.
Il existe de nombreuses méthodes et manières pour enseigner, cependant, l'important n'est pas de les savoir théoriquement mais de les appliquer concrètement en s'adaptant aux atouts et difficultés.
Ce fonctionnement permet de répondre le plus de fois à l'utile plutôt qu'au dispensable.
La transmission du savoir s'effectue dans les deux sens; à tour de rôle l'enseignant et l'apprentis reçoivent ce dont ils ont besoin et transmettent ce dont l'autre a besoin. Ils sont tout deux complémentaires.
La hiérarchie n'est que secondaire, l'égalité est primaire.
Certes, dans l'enseignement, il est important de connaître sa place, cependant, ce point reste naturel comme l'avance cette citation issue d'un auteur anonyme "Ne cherche pas ta place, elle te cherche".
Le maître n'ira pas vers l'élève, c'est l'élève qui viendra à lui, même si, comme il a été possible d'observer précédement, le maître a besoin de lui pour progresser puisqu'il n'y a pas de places attitrées aux maîtres, il peut toujours évoluer.
L'égalité, par contre, est primaire.
Un enseignant doit savoir se placer au même niveau que son élève afin d'établir un échange solide et bénéfique.
L'emploie des termes "solide" et "bénéfique" est utilisé puisqu'un enseignement fermé à l'écoute, à la compréhension et imbu de lui-même ne pourra pas poser la première pierre au projet d'un grand bâtiment, ce qui signifie que l'objectif ne pourra pas être atteint.
L'élève deviendra maître puisque son maître était un élève. Le maître s'est retrouvé à la même place que l'élève auparavant afin de pouvoir lui transmettre à présent tout ce qu'on lui a enseigner.
L'enseignement est tel un cercle perpétuel qui permet l'un après l'autre de recevoir et de donner comme nous avons pu le constater à la première partie.
Nous pouvons comparer l'enseignement à l'éducation familiale puisque le parent donne à l'enfant ce que celui-ci donnera à son tour.
Il est temps à présent de conclure en rassemblant les différentes idées évoquées précèdement.
Il a été possible de constater que Jean-Jacques Rousseau a bien évoqué ce qu'il y a de plus juste.
Le maître n'est qu'un élève qui a atteint un objectif et l'autonomie. Il est l'entremetteur du savoir dédié à son élève qui lui même a été transmis par son maître.
Merci de me donner sincèrement votre avis
