par anaelle Mer 22 Déc 2010 - 22:00
Voici ce que j'ai écris. J'ai mis egalement les remarques que ma prof a ajouter a la fin.
Depuis ces dernières années, la distinction entre parents et enfants est de moins en moins perceptible, alors que les rôles sont bien différents. A quel moment l’enfant s’immisce-t’il dans la vie de ses parents ? Qu’elles en sont les limites tout au long de sa vie ? L’enfant s’immisce dans leur vie des la naissance, il est soumis à l’autorité parentale, puis à l’âge adulte, il est contraint de respecter les lois à l’égard de ses parents.
Un enfant s’insère dans la vie de ses parents dès l’instant ou ces derniers pensent à sa conception. Une naissance est un bouleversement pour une famille tant dans l’organisation, l’économie et au niveau juridique. Le nouveau né hérite du patrimoine de ses parents, il y a filiation. Elle peut être légitime, se formant du seul fait du mariage de ses parents ou naturelle, lorsque le ou les parents reconnaissent l’enfant. A ce moment, les parents sont responsables de lui et ainsi il doit se soumettre à l’autorité parentale. Il est légitime pour un enfant de réclamer de vivre convenablement et d’avoir une éducation. En effet, la loi précise que l’autorité parentale est un ensemble de droits et de devoirs ayant pour finalité l’intérêt de l’enfant.
Les enfants jusqu’à leur majorité sont sous la tutelle de leurs parents ou d’une tierce personne dans certains cas. Les parents doivent associer l’enfant aux décisions qui le concerne, selon son âge et sa maturité.
En cas de séparation du couple, il existe une loi pour que l’enfant puisse choisir avec qui il souhaite vivre (entre son père et sa mère). Les instance juridiques comme le tribunal pour enfant ou la chambre de la famille interviennent alors dans le respect de l’intérêt de l’enfant.
A sa majorité, le jeune adulte est responsable en cas de litige pas exemple. Il écope des mêmes lois que les adultes. L’autorité parentale prend alors fin. Ce dernier est tenu de venir en aide à ses parents. Lorsque ces derniers sont dans le besoin, les rôles sont « inversés ». C’est à dire que l’enfant devenu adulte se doit de subvenir aux besoins de soins de ces parents, lorsque ces derniers ne le peuvent pas financièrement par exemple. En effet, la maladie, le handicap, l’accident peuvent altérer les facultés d’une personne et la rende incapable de défendre ses intérêts. Le juge peut alors décider d’une mise en protection juridique (tutelle ou curatelle). Elle doit être la moins contraignante possible et en priorité être exercée par la famille. L’enfant s’immisce alors totalement dans la vie de ses parents.
Tout au long de la vie, l’enfant et les parents ont des rôles distinctes. Seulement, cela peut être différent selon la loi. Lors de sa minorité, l’enfant ne doit pas s’immiscer dans la vie de ses parents plus qu’ils ne l’y autorisent. Son avis est nécessaire lorsque cela le concerne mais n’est pas déterminant, et encore moins lorsque la question ne lui est pas destinée. Cependant, à l’age adulte, il a les mêmes droits et devoirs que ses parents, hormis le soutien et l’assistance lorsque les parents sont dans le besoin. Principalement lorsqu’ils sont diagnostiqués pas un médecin et jugé par un juge.
Les rôles des parents et des enfants, établis à la naissance, peuvent être parfois inversé. Mais il n’est pas nécessaire qu’une loi existe pour qu’un enfant soit reconnaissant envers ses parents et les aide quelqu’en soit la manière, tout en leur vouant un respect éternel.
Voici les remarques de ma prof :
je voudrai remarquer la chose suivante : on vous indique dans la question UN PLAN.... Vous distinguerez....
Donc pourquoi ne pas avoir fait clairement une partie sur les DEVOIRS LEGAUX d'un enfant vis-à-àvis de ses parents (peut-être en travaillant un peu plus les grandes lois économiques/juridiques qui encadrent ; en expliquant la curatelle....par ex, les hospitalisations "forcées"...., l'assistance en fin de vie.... il y a plusieurs domaines où tout ceci se pose)
PUIS UNE QUESTION MORALE (l'affaire Betancourt en est l'ex : la loi n'était pas réellement un appui poru la fille de Bétancourt et c'est fondamentalement peut-être pour des raisons morales qu'elle a voulu s'immiscer dans la façon dont sa mère dépensait son argent 1 milliards d'euros donné sous diverses formes à une personne à l'époque nommé légataire universelle avec qui aucun lien de parenté n'existait) qui fait qu'un enfant s'inquiète pour ses parents, leur est redevable.... Vous en parlez à la fin mais de façon "un peu lapidaire".
Enfin n'aurait-ce pas été intéressant de faire clairement ces 2 PARTIES si possible développées de manière égale
ET DE FAIRE UNE ULTIME PARTIE SUR LES RAPPORTS ENFANTS/PARENTS qui avec le viellissement de la population, la baisse des niveaux de retraite, l'apparition des maladies liés au grand-âge (50% de la génération actuelle des jeunes deviendra centenaire.....) doivent être RETRAVAILLES, voire dont il faudrait dans chaque famille que chacun s'occupe, que les parents disent ce qu'ils souhaitent si.... Et puis ai-je des obligations morales vis-à-vis de mes parents maltraitants ?
Donc les idées sont là mais pas assez développées et encore avec un "léger" manque d'organisation : si la question stipule "en distinguant".. il faut donc faire 2 parties bien distinctes et recenser plus d'arguments.
L'idée étant d'arriver à mettre en lumière les problématiques qui se jouent maintenant et surtout dans les années à venir puisqu'en tant que futur travailleur social, la réalité sur laquelle vosu allez travailler dans les 20 ans qui viennent ne sera pas exactement celle sur laquelle on vous fait travailler aujourd'hui.. D'où la nécessité de "s'interroger" un peu plus et de faire un peu de "prospective".
Votre réponse est donc honorable mais sans plus et je lui accorderai un 11/20.
Mes commentaires vous éclairent-ils ?
Voila ! rapide et inéfficace, je suis un peu décue...