Dans la série "les nouvelles pas terribles du monde ", le nouveau rapport de l'OIT (Organisation internationnal du travail) nous indique que parmi 620 millions de jeunes économiquement actifs, âgés de 15 à 24 ans, 81 millions étaient sans emploi fin 2009 – le plus haut chiffre jamais atteint. C'est 7,8 millions de plus qu'en 2007. Le taux de chômage des jeunes est passé de 11,9 pour cent en 2007 à 13 pour cent en 2009.
il parle d'une "génération perdue".
voici le lien pour l'article: http://www.ilo.org/global/About_the_ILO/Media_and_public_information/Press_releases/lang--fr/WCMS_143358/index.htm
Pour apporter mon témoignage de cette génération perdue, je dirai qu'il n'en reste pas moins que le travail existe mais il est effectué par de moins de moins d'individus, tous plus compressés d'année en année, devant répondre à des exigences de rendement et de travail souvent insupportable. L'argent est là, généré par toute la masse des travailleurs mais, l'argent est de plus en plus détourné (!) de sa fonction principale de rétribution d'un travail pour enrichir la sphère capitaliste où une poignée de gens se font de l'argent avec l'argent généré du travail du plus grand nombre.
Alors evidemment, il n'y a pas de place pour tout le monde.(pardi!) Pour ma part je pense que pour qu'il y est des fortunes toujours plus immenses, il faut qu'il y est des personnes aux salaires toujours plus maigre. Comment ces personnes aux salaires (ou rentes) mirobolantes ne voient pas le malheur qu'ils font parfois à l'autre bout de la ville, ou à l'autre bout du monde? Comment ont ils pu se laisser embarquer dans ce navire clinquant du capitalisme rendu à ses limites? Que croient ils se démontrer à travers des fonctions, des places de président? Qu'ils sont les plus forts?
il parle d'une "génération perdue".
voici le lien pour l'article: http://www.ilo.org/global/About_the_ILO/Media_and_public_information/Press_releases/lang--fr/WCMS_143358/index.htm
Pour apporter mon témoignage de cette génération perdue, je dirai qu'il n'en reste pas moins que le travail existe mais il est effectué par de moins de moins d'individus, tous plus compressés d'année en année, devant répondre à des exigences de rendement et de travail souvent insupportable. L'argent est là, généré par toute la masse des travailleurs mais, l'argent est de plus en plus détourné (!) de sa fonction principale de rétribution d'un travail pour enrichir la sphère capitaliste où une poignée de gens se font de l'argent avec l'argent généré du travail du plus grand nombre.
Alors evidemment, il n'y a pas de place pour tout le monde.(pardi!) Pour ma part je pense que pour qu'il y est des fortunes toujours plus immenses, il faut qu'il y est des personnes aux salaires toujours plus maigre. Comment ces personnes aux salaires (ou rentes) mirobolantes ne voient pas le malheur qu'ils font parfois à l'autre bout de la ville, ou à l'autre bout du monde? Comment ont ils pu se laisser embarquer dans ce navire clinquant du capitalisme rendu à ses limites? Que croient ils se démontrer à travers des fonctions, des places de président? Qu'ils sont les plus forts?