par olivier Sam 10 Oct 2009 - 7:28
bjr Arnaud! elle est jolie la psychologue du service?
J'ai expérimenté les entretiens familiaux avec le,a psychologue. Au départ, en qualité de jeune professionnel, j'ai trouvé ça laborieux, pénible particulièrement sur la question de la place à occuper et du rôle à tenir. Sur une intervention de type aide, conseil ou suppléance familiale: je me mets souvent en position de co-éducateur avec la famille (cf. C Sellenet) ce qui favorise la confrontation de point de vus avec la famille, le partage d'expériences et donc des réussites, des échecs, des doutes (évitant ainsi la position d'expert de la part de l'éducateur). Je suis aussi celui comme le psychologue, celui qui est à l'écoute (K. Rogers). Je suis également celui fait valoir, défend les valeurs de notre société (notions immuabilité et de répère intangible). Je peux donc être en conflit, en colère même avec les bénéficiaires et eux peuvent l'être également à mon égard... le psychologue devient ici celui qui médiatise la relation, éclaire les malentendants. Je peux être également celui qui sait ce qui est bon pour l'enfant car j'ai des connaissances techniques que les parents n'ont pas appris... ils n'ont pas fait une école d'éducateur et donc ne peuvent pas savoir (exemple: repérer les capacités de l'enfant à utiliser son corps, de communication... pour identifier les ressources à prendre à compte dans l'élaboration du projet individualisé
A+